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Ze blog ov Jack

Ze blog ov Jack
17 juin 2016

Rien

Cela fait longtemps que je ne suis pas venu ici. L'envie me prend donc d'écrire un peu. Mais je n'ai pas trop le temps.... alors je verrai plus tard...

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11 mai 2016

OZZY OSBOURNE : Blizzard Of Ozz (1980)

Blizzard Of Ozz

 

Un Peu d'histoire.

1980. Ozzy Osbourne, désormais ex chanteur de BLACK SABBATH est au fond du trou. Grace à l'aide de celle qui va devenir sa femme, il sort la tête de l'eau pour monter un projet solo.

Ce premier album de Ozzy est fondateur pour bien des raisons. Il marque l'envol en solo de celui que l'on surnomme le "Madman" au travers d'un style plus foncièrement Heavy Metal (avec des accents mélodiques). Il débute aussi les collaborations du chanteur avec plusieurs guitaristes de renom : le premier étant feu Randy RHOADS.

Beaucoup de choses ayant été dite sur cet album, je me contenterai de mes impression subjectives : cet album est bon mais il a un goût de trop peu. Je m'explique.

Il comporte 9 titres mais j'en zappe systématiquement 3 (les plages 3-4 et 8) car soit des ballades que je trouve peu intéressantes, soit un instrumental là pour servir l'égo du guitariste. en parlant de celui-ci, reste l'énigme RHOADS. Impérial (et c'est peu de le dire) en solo avec des thèmes toujours bien trouvés, je le trouve plus que limite en rythmique avec parfois des doubles pistes de guitares pas très synchros ni très péchues.

Et au rayon des choses à redire, un mix moyen avec une présence des vocaux trop importante (ok c'est son groupe mais bon...) au détriment des guitares et des synthés aux sons très datés (n'est ce pas "Monsieur Crowley" ?).

 

En bref, un disque de légende ? Oui pour le contexte, non pour le contenu car trop court. En tout cas il donne envie de suivre la suite de sa carrière.

10 mai 2016

On fait quoi ?

Bon on fait quoi ?

 

Oui on fait quoi quand on s'ennuie ?

Quand on s'ennuie au boulot ? Quand on n'a pas vraiment de trucs qui nous motivent dans la vraie vie ?

Car je vous rassure (expression idiote pour les 2 personnes qui se seraient perdues ici à lire ce billet), je ne m'ennuie pas dans le sens ne pas savoir comment occuper mon temps.  Pour ça je me débrouille bien, je n'ai pas besoin de chercher pour avoir des choses à faire.

Mais quand on s'ennuie dans son métier ? Que l'on veut changer de boite depuis 4 ans en vain. On fait quoi ?

Quand on n'a pas de truc qui vous motive dans la vie et que les week end "sympa" se succèdent sans vraiment enflammer ? On fait quoi ?

 

Si vous avez une recette faite moi la parvenir. Je vous en remercie d'avance.

4 mai 2016

Encore une

Voilà, encore une.

Après un mois, j'ai pris les choses en main (et aussi mon téléphone) pour avoir des nouvelles.

Négatives évidemment.

J'en viens à (presque) trouver cela drôle.

 

15 avril 2016

Digressions.

En général, je publie un post ici quand j'ai quelque chose à dire. Pas forcément une chose fondamentale ou même passionnante mais au sujet de quelque chose qui mérite que je perde du temps à le coucher sur papier (virtuellement).

Aujourd’hui, j'ai envie de tenter l'inverse c''est à dire d'écrire pour ne rien dire. Je suis certains que c'est beaucoup plus difficile qu'il n’y parait. Ce post sans queue ni tête n’aura d’ailleurs pas forcément une durée de vie très longue étant donné son contenu.

Pour ne rien dire, commençons par évoquer ce qui nous passe par la tête.

Comme ce fichu coup de téléphone, sujet de mon post précédent, qui n’arrive toujours pas. Cela fait 8 jours que je l’attends. Mais après vérification la dernière fois j’ai dû attendre 11 jours. Je me console en me disant alors que c’est normal qu’il ne soit pas arrivé. Ou du moins ce n’est pas totalement fichu.

Ensuite il y a le fait de parcourir certains blogs hébergés là. Evidemment, je ne suis pas toujours un modèle de joie communicative ici. Mais tout de même, certains donnent vraiment envie de déprimer. Je peux cependant comprendre qu’ils se servent de cet espace anonyme pour déverser leurs pensées sans risquer de conséquences dans la vraie vie. C’est peut-être l’un des principales motivations de ces bloggeurs : écrire pour évacuer. Je pense d’ailleurs que c’est la 2nde plus grande motivation pour poster. La 1ère étant pour beaucoup de vous faire partager à quel point leur progéniture est merveilleuse.

Cela m’incite donc à relever le fait que mon blog ne recueille quasi aucun commentaires ni ne reçoit de visites. Le message d’accueil n’est peut-être pas intéressant ? En tout cas il est certainement honnête sur son contenu. D’ailleurs, lors de mes visites sur les autres blogs je laisse régulièrement des commentaires qui restent, dans l’immense majorité des cas, lettres mortes. Ici, on parle donc à un mur. Ou plutôt à un écran. Vide.

Une de mes occupation en ce moment, c’est retourner sur des blogs ou réécouter des disques que j’ai laissé de côté un bon moment. Par exemple, j’ai récemment parcouru http://www.nioutaik.fr/ blog que je suivais régulièrement à une époque. Cela fait le lien avec un de mes posts sur les différences de perception des choses avec le temps. Par exemple ce blog est très drôle mais j’y trouvé désormais un côté adolescent surjoué que je goute peu. Même remarque en réécoutant certains disques comme « V » de SYMPHONY X. Je le connais encore quasiment par cœur sans l’avoir écouter depuis plusieurs années (voire plus) mais il ne me fait plus le même effet qu’avant.

Tiens, j’en viens à remarquer que je reviens beaucoup au fait de réfléchir sur le passé. Cela peut longuement occuper même si je ne suis pas certain que cela soit une bonne chose.

Alors pourquoi ? Parce que j’ai peur du futur ? Ou que je n’ai aucune idée de là où il va me mener ?

Je passe mon temps à attendre un moment qui va arriver et quand il est là j’ai l’impression de ne pas pleinement en profiter. Pourquoi se poser tant de questions ?

En fait, je pense qu’il me manque surtout de croiser de nouvelles têtes avec qui je pourrai vraiment échanger. Le soucis c’est de trouver des personnes intéressantes. Un changement à venir m’y aiderait peut-être ? En y pensant, c’est un peu cela. Je côtoie les mêmes personnes depuis longtemps. 10 ans ? Voire plus. Et certaines nouvelles connaissances, bien que sympa, ne me donnent pas envie forcément d’échanger davantage avec elles.

Etrange comme cet écrit au fil de l’eau des pensées ressemble à une technique Freudienne de psychanalyse. Essayer de faire ressortir quelques chose en se libérant de barrières « conscientes ».

En fait, je suis de plus en plus obsédé par le temps : le temps qui passe, le temps à venir mais aussi l’heure de la journée ou de la nuit.

Le temps qui passe forcément. Comme l’on dit, nous voyageons tous dans le temps. Mais dans le même sens et à la même vitesse (à la théorie de la relativité près). L’âge est évidemment un facteur d’angoisse. Mes meilleures années sont-elles derrière moi ? Le futur me réserve-t-il du bon ? Mon corps va-t-il se dégrader ?

Mais paradoxalement, je ne pense plus au temps à venir comme gage d’opportunités mais au contraire comme soucis potentiel. Parents qui vieillissent comme bon exemple.

Mais plus que cela, le temps en fonction de l’heure de la journée. Je suis perpétuellement en course avec lui pour « Gagner du temps » ou ne « pas perdre du temps » pour profiter d’un moment à venir. Sauf que je ne profite pas de ce moment. Se poser le soir avec de la musique ? Oui mais pas trop car le matin il faut se lever. En semaine ? courir pour le boulot. En WE ? Courir pour l’intendance de la maison. Et quand on ne court pas ? La culpabilité de ne rien faire.

Là réside un des principaux problèmes : cette course permanente génère un stress et une fatigue qui devient de moins en moins gérable. Comment prendre du temps sans regarder l’heure ? J’y arrivais à un moment. Peut-être que cela reviendra.

 

En attendant, il est l’heure.

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12 avril 2016

Le téléphone sonne. Ou pas.

Je ne sais pas où j'ai lu un jour "Il n'y a rien de plus triste qu'un téléphone qui ne sonne pas quand on voudrait qu'il sonne. Ni rien ne plus énervant qu'un téléphone qui sonne quand on ne le veut pas".

 

Et bien actuellement pour moi, c'est plutôt triste.

 

Quand on attend (espère) un appel téléphonique depuis plusieurs jours et qu'il ne vient pas, il y a de quoi, sinon déprimer, du moins s'attrister de cela. Alors quand enfin on voit le téléphone sonner et que l'on décroche, plein d'espoirs, le moral remonte en flèche.

 

Mais comble de l'ironie, au lieu de l'interlocuteur attendu, lorsque c'est un appel pour une enquête d'opinion, l'humeur à tendance à replonger instantanément.

 

 

C'est sûrement cela que l’on appelle l'ascenseur émotionnel.

7 avril 2016

MANOWAR

Bon, il faut s'y mettre.

 

Il me faut vous parler de ce groupe qui va changer votre vision des choses. Car oui, si vous êtes passés à côté, il vous manque un truc.

Je connaissais de loin ce groupe avec quelques extraits de l'album "Hail To England".Cela ne m'emballait pas tant que ça. Récemment avec les lectures de chroniques des albums de ce groupe (et notamment celles "Les Eternels" http://www.leseternels.net/chronique.aspx?id=3122 ) j'ai vraiment découvert. Mais les différents "papiers" m'ont convaincu que la plupart de leurs albums contenaient des titres fabuleux mais aussi d'autres.... disons moyens.

 

Je me suis donc fait un "Best Of" personnel avec les recommandations glanées ici et là. Je vais le partager avec vous :

Metal Daze  / Fast Taker / Shell Shock / Manowar / Warlord / Thor (The powerhead) / Sign of the hammer / Blood of my ennemies / Kill with power / Kings of metal / Metal warriors / Return of the warlord / The gods made heavy metal / Number 1 / The power / Warriors of the world united

Avec cette liste de titres (non exhaustive évidemment bien que chronologique pour apprécier l’évolution de leur musique), vous pouvez déjà conclure que le groupe a globalement un champs lexical très limité (certains parlent de générateur automatique pour leurs lyrics).

 

Tout cela c'est très bien mais Manowar c'est quoi ?

 

MANOWAR c'est d'abord une image : les pochettes de leurs albums se passent de commentaires. Ces dernières sont d'ailleurs à classer selon 2 grandes catégories :  les 4 premiers albums ont des visuels variés (mention spéciale à "Into Glory Ride") alors que les suivants se consacrent globalement aux exploits du "Guerrier sans nom" qui ferai passer Stallone (de la grande époque) pour une demi portion rachitique. Manowar c'est donc une musique pour ceux qui en ont. Des muscles.

 

MANOWAR c'est un genre musical : Le Heavy Metal (cf les titres des chansons). Ils est toutefois intéressant de constater que la frontière avec le Hard Rock n'est pas pleinement définie dans leurs premiers enregistrements. Globalement, les morceaux sont, soit des mi-tempo avec des gros refrains (idéal pour le jogging), des titres speed flirtant avec le Thrash et des titres atmosphériques souvent longs et lents. La musique est globalement assez basique mais l'énergie et la conviction du groupe emporte l'adhésion. Il faut toutefois noter que le groupe possède dans ses rangs un chanteur d'exception capable d'une puissance hors norme (associée à une technique sans faille) mais aussi de faire passer des émotions dans sa voix.

 

MANOWAR c'est une attitude. Eux ce sont des vrais ("True") qui représentent le Bien et la Défense des Valeurs du Heavy Metal contre les False (en gros ceux qui n'aiment pas le Metal : "If you're not into Metal, you are not my friend"). A noter le paradoxe entre "Seul contre tous" mais aussi "Ensemble contre les Falses" contenu dans la plupart des thématiques du groupe.

 

Pour résumer et synthétiser le tout.

Oui MANOWAR c’est une musique Heavy Metal relativement basique avec une imagerie disons répétitive et bas du front couplée à une attitude incroyablement prétentieuse. Tout pour paraitre rédhibitoire. Sauf que lorsque l’on arrive à rentrer dans leur « trip » avec suffisamment de second degrés, le niveau d’addiction de leurs titres est impressionnant. Les refrains vous resteront longtemps en tête croyez moi.

Alors si vous aimez la musique Heavy et que vous voulez découvrir un bon groupe en faisant fi de vos a priori, jetez-vous sur MANOWAR.

 

Mais pas trop fort car ça fait mal un guerrier.

 

 

5 avril 2016

Je suis à vous tout de suite (2015)

JSAVTDS

Le film "Je suis à vous tout de suite" est une comédie dramatique (terme facile et fourre-tout) française de 2015.

Ceci dit, le terme de comédie dramatique trouve ici tout son sens puisque commençant par quelques scènes très drôles (la méprise sur l'identité de Hanna qui débouche sur sa visite à la dépouille mortelle de la mère d'un inconnu est irrésistible), le film glisse lentement vers le drame au travers de flash-back (pas toujours évidents à suivre) qui nous en apprennent plus sur la vie du personnage principal.

Pour ne rien spolier, il suffit de décrire ce film comme l'histoire d'un jeune femme française d'origine algérienne ayant grandi dans une cité (et on devine réussi professionnellement) mais qui a un problème relationnel : elle est incapable de faire de la peine au gens et donc est contrainte d'accepter tout pour ne pas les blesser). Ce postulat de départ va l'emmener dans des situations parfois rocambolesques.

Une des forces (ou faiblesses selon les avis) de ce film est de croiser différentes problématiques comme celles de la relation sœur / frère, de la religion, de l'acceptation de soi... Je n'en dirai pas plus.

Mention spéciale à Vilama PONS dans le rôle principal, incroyable de justesse et de naturel.

En résumé j'ai bien aimé ce film avec quelques moments forts en émotions mêmes si filmés de manière très pudique.

31 mars 2016

Tout est relatif comme disait Albert

Pour donner un avis sur une chose , il faut avoir en général  un point de comparaison. Et les avis peuvent donc évoluer en fonction des points de comparaison que l'on a au moment de se forger son opinion. J'en ai fait l'expérience hier soir.

 

 

Depuis quelques mois (années ?) j'ai dans mon stock de musique MP3 l'album "Left Hand Path" de ENTOMBED. Je ne vous ferai pas l'insulte de le décrire, disons qu'il s'agit de ce que l'on nomme communément du Swedish Death Metal version Old School. Vous êtes bien avancés. J'ai plaisir à écouter 1 ou 2 titres de temps en temps mais l'aspect très extrême à tendance à vite me rebuter.

Hier soir, j'ai voulu tenter une découverte musicale en testant sur le Tube un groupe que je ne connais pas via son album le plus "connu" (Note pour l'aspect connu : sur une échelle de 0 à 10 où 0= moi et 10 = Rihanna, ce disque doit être à 0.00001). Ce groupe c'est CRYPTOPSY et l'album c'est "None So Vile" (1996, Canada). Certains décrivent cela comme du Brutal Death Metal technique. Personnellement je trouve que c’est un euphémisme. Même dans le black, j’ai rarement voire jamais souvenir avoir entendu une musique aussi agressive. Vocalises gutturales au possible, guitare ultra grave et saturée, batteur épileptique sous amphétamines. Les mots me manquent. Mais l’écoute fut malgré tout plaisante.

Après cette dizaine de minutes de boucherie sonore, j’ai voulu comparer avec ENTOMBED. J’en suis tombé de ma chaise (métaphoriquement) : j’ai trouvé ce dernier presque mélodique !

 

J’en reviens donc à mon idée de départ : on se forge souvent une opinion via la connaissance ou l’humeur du moment et cette dernière peut donc changer du tout au tout d’une personne à l‘autre mais aussi d’un moment à l’autre pour une même personne. C’est ainsi que pour un habitué des radios FM grands publics, le moindre disque de SKID ROW passera pour une musique de sauvage « inaudible » (je n’ai pas pris cet exemple au hasard, j’ai eu ce genre de commentaire sur ce groupe) alors que ce même album sera catégorisé comme « musique commerciale pour radio » par les amateurs  de Black Metal. Et ce même biais de résonnement est valable dans beaucoup de domaine (cinéma, peinture, littérature, gastronomie,…)

Comme quoi élargir son champs de connaissances d’un domaine peut permettre de donner un avis plus nuancé sur une question.

 

 

D’ailleurs, ce soir je teste SUFFOCATION

25 mars 2016

RIOT : Fire Down Under (1981)

Fire down under

 

On pourrait les catégoriser dans la NWOBHM. Sauf qu’ils sont américains. Est-ce grave ?

Je viens de vous spoiler une bonne partie de l’intérêt de cet article, sauf si vous ne savez pas ce qu’est la NWOBHM.

Reprenons.

RIOT est donc un groupe américain formé au milieu des 70’s et pratiquant un hard rock aux forts relents de heavy metal. L’album qui nous intéresse aujourd’hui est leur 3ème (et dernier avec le chanteur SPERANZA). Il est considéré par beaucoup comme le meilleur du groupe et comme une pierre angulaire méconnue du style dans les 80’s.

L’édition originale contient 10 titres (enfin 9 + une outro bizarre et inutile) oscillant entre heavy rageur (Swords and Tequilas) et titres hard rock (No Lies), le tout assez mélodique. Le chant est très maitrisé et les guitaristes se complètent bien et proposent une interprétation fluide et parfois assez nerveuse quand il faut.

Je ne qualifierai pas cet album de génial mais il est très plaisant à l’écoute avec son lot de bons moments. Nul doute qu’il a dû faire son petit effet à l’époque.

Cependant, les changements de line-up et les orientations musicales futures ne permettront pas au groupe de s’imposer.

Et peut –être aussi les pochettes des albums, disons… particulières.

 

Il est à noter que selon moi, les membres de SKID ROW ont dû pas mal l’écouter tant j’y trouve des ambiances ou enchaînements proches avec ce qu’ils ont proposé dans leurs premiers albums.

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